Durant mon itinéraire de chercheur, j’ai traversé plusieurs périodes. La première a été consacrée aux sciences de la santé, la seconde de 2002 à 2007, aux « sciences de l’art » et notamment à l’art thérapie preformative. La troisième, cette fois-ci contemporaine, est consacrée à la philosophie et plus particulièrement à la phénoménologie et à la philosophie du Sensible.
Je rangeais dernièrement certains de mes travaux qui avaient trait aux sciences de l’art et suis tombé sur un ensemble de réflexions qui me semblent d’actualité et que je vous livre ici. L’intérêt que j’ai porté aux sciences de l’art est peu connu du public non spécialisé et pourtant, cette période a été pour moi un moment intense de créativité, point départ de ma réflexion autour de la subjectivité comme argument scientifique.